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Grèves des Cast .................................
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Merci pour tout ceci ...
ben ils poursuivent c'est bien pour eux enfin on l'espère
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Horaires changeants, manque de personnel et bas salaires : les employés de Disneyland Paris racontent leur vie qui est très loin du rêve vendu par leur employeur.
Disneyland Paris prétend être un lieu où les rêves peuvent devenir réalité, mais ces dernières semaines, le parc d'attraction s'est fait rattraper par une autre réalité, celle que vivent ses milliers de salariés. Une grève, très rare, a été votée par les salariés qui réclament de meilleure conditions de travail et des augmentations de salaire qui prennent en compte l'inflation.
Lundi, les syndicats ont organisé une sixième journée de débrayage. La première a eu lieu le 23 mai et a vu 500 "cast members" y prendre part, sur les 17 000 employés que compte le parc. Le 3 juin, leur nombre avait doublé. Les emplois les plus touchés sont ceux de l'hôtellerie, de la maintenance et de la sécurité.
Les grévistes réclament une augmentation de salaire de 200 euros par mois, le doublement du salaire le dimanche, ainsi que des horaires de travail plus raisonnables.
Disneyland Paris prétend être un lieu où les rêves peuvent devenir réalité, mais ces dernières semaines, le parc d'attraction s'est fait rattraper par une autre réalité, celle que vivent ses milliers de salariés. Une grève, très rare, a été votée par les salariés qui réclament de meilleure conditions de travail et des augmentations de salaire qui prennent en compte l'inflation.
Lundi, les syndicats ont organisé une sixième journée de débrayage. La première a eu lieu le 23 mai et a vu 500 "cast members" y prendre part, sur les 17 000 employés que compte le parc. Le 3 juin, leur nombre avait doublé. Les emplois les plus touchés sont ceux de l'hôtellerie, de la maintenance et de la sécurité.
Les grévistes réclament une augmentation de salaire de 200 euros par mois, le doublement du salaire le dimanche, ainsi que des horaires de travail plus raisonnables.
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Un porte-parole de Disneyland Paris a déclaré à Euronews : "Il y a environ 60 personnes en grève aujourd'hui. Le parc reste ouvert et nous n'avons annulé qu'un seul spectacle".
Des vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent des dizaines de personnes rassemblées sur le pont devant le château de la Belle au bois dormant, l'attraction principale du parc.
Des vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent des dizaines de personnes rassemblées sur le pont devant le château de la Belle au bois dormant, l'attraction principale du parc.
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"On voit des gens s'effondrer"
Des employés actuels mais également anciens de Disneyland Paris ont témoigné sur les réseaux sociaux pour expliquer leurs conditions de travail.
Agathe Guittet, ancienne maquilleuse à Disneyland Paris, explique sur Twitter que l'environnement de travail y est toxique, avec des horaires qui changent constamment, un manque de personnel et une direction qui demande aux employés de travailler les week-ends sans rémunération supplémentaire.
"Vous voyez les gens s'effondrer autour de vous... puis les gens commencent à partir. Et vous commencez aussi à y penser parce que vous vous rendez compte que ce travail vous détruit et que vos supérieurs s'en fichent. Ils ne voient que les chiffres et n'ont aucune empathie pour ce que votre travail exige réellement", raconte l'ancienne maquilleuse au parc. Le manque de formation et de possibilités d'évolution de carrière est également pointé du doigt par les salariés en grève.
Des employés actuels mais également anciens de Disneyland Paris ont témoigné sur les réseaux sociaux pour expliquer leurs conditions de travail.
Agathe Guittet, ancienne maquilleuse à Disneyland Paris, explique sur Twitter que l'environnement de travail y est toxique, avec des horaires qui changent constamment, un manque de personnel et une direction qui demande aux employés de travailler les week-ends sans rémunération supplémentaire.
"Vous voyez les gens s'effondrer autour de vous... puis les gens commencent à partir. Et vous commencez aussi à y penser parce que vous vous rendez compte que ce travail vous détruit et que vos supérieurs s'en fichent. Ils ne voient que les chiffres et n'ont aucune empathie pour ce que votre travail exige réellement", raconte l'ancienne maquilleuse au parc. Le manque de formation et de possibilités d'évolution de carrière est également pointé du doigt par les salariés en grève.
pat57- Admin
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Une rare fissure dans la façade de Disney
La dernière grève importante menée par des salariés du parc remonte à 1999. Les grévistes expliquent avoir agi en dernier recours, après ce qu'ils considéraient être une réponse insuffisante (et pour certains, insultante) de la part de la direction. Disney aurait ainsi proposé aux employés de leur verser leur prime de fin d'année sous forme de versements mensuels, ainsi qu'une prime exceptionnelle de 125 euros en mai.
Interrogé à ce sujet, un porte-parole de Disneyland Paris a déclaré à Euronews que la direction avait avancé les négociations annuelles entre la direction et les syndicats d'octobre à août.
"Au cours des 12 derniers mois, la plupart des employés ont vu leurs salaires augmenter de 9 à 12 % et ont également bénéficié de primes ", a ajouté le porte-parole.
La dernière grève importante menée par des salariés du parc remonte à 1999. Les grévistes expliquent avoir agi en dernier recours, après ce qu'ils considéraient être une réponse insuffisante (et pour certains, insultante) de la part de la direction. Disney aurait ainsi proposé aux employés de leur verser leur prime de fin d'année sous forme de versements mensuels, ainsi qu'une prime exceptionnelle de 125 euros en mai.
Interrogé à ce sujet, un porte-parole de Disneyland Paris a déclaré à Euronews que la direction avait avancé les négociations annuelles entre la direction et les syndicats d'octobre à août.
"Au cours des 12 derniers mois, la plupart des employés ont vu leurs salaires augmenter de 9 à 12 % et ont également bénéficié de primes ", a ajouté le porte-parole.
pat57- Admin
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L'année dernière, les recettes de Disneyland Paris ont atteint un niveau record : le parc a rapporté 2,4 milliards d'euros grâce à la levée des restrictions Covid-19 et à l'ouverture d'un nouveau parc très populaire sur le thème des super-héros Marvel. Le parc a également réalisé un bénéfice d'exploitation de 47 millions d'euros, une bonne surprise pour un secteur qui réalise rarement des bénéfices.
Les employés en grève affirment vouloir simplement leur part du gâteau : "Nous sommes ceux qui font la magie, mais nous n'en profitons pas".
Les employés en grève affirment vouloir simplement leur part du gâteau : "Nous sommes ceux qui font la magie, mais nous n'en profitons pas".
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je suis de tout cœur avec eux
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Merci pour ceci ...
On est de tout cœur encore avec eux en espérant que enfin ils auront gain de cause
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Disneyland Paris. « Ils veulent couper des têtes » : cinq salariés grévistes menacés de licenciement
Article de Mélissa BOUFIGI
Ouest-France
Cinq salariés de Disneyland Paris ayant pris part au mouvement de grève historique ayant secoué le parc au printemps ont été convoqués ce mardi 25 juillet 2023 pour un entretien préalable à un éventuel licenciement. Le syndicat UNSA, des députés et plus de 800 salariés font part de leur inquiétude.
Stupeur dans les rangs des salariés de Disneyland Paris. Selon nos informations, le 11 juillet 2023, par courrier recommandé, cinq d’entre eux ont reçu une convocation à un entretien préalable à un éventuel licenciement. Si l’entreprise ne donne pas de motif, ces cinq salariés avaient pris part au mouvement de grève qui a secoué le parc de Marne-la-Vallée, en Seine-et-Marne, en mai et juin dernier. « On en saura plus mardi sur les soi-disant griefs reprochés à ces cinq grévistes, on attend de savoir les faits, précise un salarié du parc, délégué syndical UNSA, contacté ce samedi 22 juillet. Mais on ne peut pas ne pas faire le lien, ils étaient tous grévistes ! »
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Article de Mélissa BOUFIGI
Ouest-France
Cinq salariés de Disneyland Paris ayant pris part au mouvement de grève historique ayant secoué le parc au printemps ont été convoqués ce mardi 25 juillet 2023 pour un entretien préalable à un éventuel licenciement. Le syndicat UNSA, des députés et plus de 800 salariés font part de leur inquiétude.
Stupeur dans les rangs des salariés de Disneyland Paris. Selon nos informations, le 11 juillet 2023, par courrier recommandé, cinq d’entre eux ont reçu une convocation à un entretien préalable à un éventuel licenciement. Si l’entreprise ne donne pas de motif, ces cinq salariés avaient pris part au mouvement de grève qui a secoué le parc de Marne-la-Vallée, en Seine-et-Marne, en mai et juin dernier. « On en saura plus mardi sur les soi-disant griefs reprochés à ces cinq grévistes, on attend de savoir les faits, précise un salarié du parc, délégué syndical UNSA, contacté ce samedi 22 juillet. Mais on ne peut pas ne pas faire le lien, ils étaient tous grévistes ! »
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Deux représentants UNSA font partie des convoqués. Selon nos informations, les cinq salariés sont deux membres de la sécurité, un pompier, un salarié qui travaille à la gestion des flux attractions et un salarié attractions. « Ils sont révoltés par le manque de discernement de l’entreprise et que leur droit à la grève soit bafoué », poursuit le délégué syndical qui s’est entretenu avec eux.
Entre 1300 et 1 600 salariés mobilisés
Entre 1300 et 1 600 salariés mobilisés
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Durant six journées de grève, en mai et juin, les salariés avaient défilé dans les allées du parc et bloqué parades, spectacles et attractions. Le 3 juin, entre 1300 et 1 600 d’entre eux avaient fait valoir leur droit de grève, une mobilisation jugée « historique » par un syndicaliste interrogé à l’époque.
Selon le Parisien, qui cite un « cast member », les convocations ont été envoyées à des salariés présents lors du blocage du spectacle Disney Dream début juin. « Ils n’y étaient pas tous, rectifie le délégué syndical UNSA interrogé ce samedi. Mais tous les dirigeants ne s’étaient pas cachés du fait qu’à leurs yeux, les annulations de spectacles étaient un coup dur, une crise. »
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Selon le Parisien, qui cite un « cast member », les convocations ont été envoyées à des salariés présents lors du blocage du spectacle Disney Dream début juin. « Ils n’y étaient pas tous, rectifie le délégué syndical UNSA interrogé ce samedi. Mais tous les dirigeants ne s’étaient pas cachés du fait qu’à leurs yeux, les annulations de spectacles étaient un coup dur, une crise. »
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« Des revendications légitimes »
Après avoir été informés de l’action de la direction, des représentants du syndicat national UNSA se sont joints aux représentants UNSA du parc dans une lettre adressée à Natacha Rafalsky, la présidente d’Euro Disney associés S.A.S, faisant part de ses « plus grandes inquiétudes ». « Bien qu’il ne nous appartienne pas de faire de l’ingérence dans vos prérogatives de direction, ces procédures nous semblent viser des salariés ayant usé de leur droit le plus absolu, à savoir le droit de grève sur des revendications légitimes », écrit le syndicat. « On soutient les salariés de toutes nos instances », poursuit le délégué syndical.
Après avoir été informés de l’action de la direction, des représentants du syndicat national UNSA se sont joints aux représentants UNSA du parc dans une lettre adressée à Natacha Rafalsky, la présidente d’Euro Disney associés S.A.S, faisant part de ses « plus grandes inquiétudes ». « Bien qu’il ne nous appartienne pas de faire de l’ingérence dans vos prérogatives de direction, ces procédures nous semblent viser des salariés ayant usé de leur droit le plus absolu, à savoir le droit de grève sur des revendications légitimes », écrit le syndicat. « On soutient les salariés de toutes nos instances », poursuit le délégué syndical.
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Deux députés et une conseillère régionale écrivent à la direction
Deux députés de Seine-et-Marne, Ersillia Soudais et Maxime Laisney, ainsi que la conseillère régionale d’Île-de-France Julie Garnier ont également adressé un courrier à Natacha Rafalsky dans lequel ils rappellent que « le droit de grève est un droit à valeur constitutionnelle » qui fait partie des « droits fondamentaux ». « Aussi nous serons vigilant.es à ce que ce droit constitutionnel soit bien appliqué chez Disneyland Paris, et que rien d’illégal ne vienne entraver ce droit, ne serait-ce que par des pressions ou des menaces dissimulées », précisent-ils.
Deux députés de Seine-et-Marne, Ersillia Soudais et Maxime Laisney, ainsi que la conseillère régionale d’Île-de-France Julie Garnier ont également adressé un courrier à Natacha Rafalsky dans lequel ils rappellent que « le droit de grève est un droit à valeur constitutionnelle » qui fait partie des « droits fondamentaux ». « Aussi nous serons vigilant.es à ce que ce droit constitutionnel soit bien appliqué chez Disneyland Paris, et que rien d’illégal ne vienne entraver ce droit, ne serait-ce que par des pressions ou des menaces dissimulées », précisent-ils.
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« Intimider les grévistes »
Pour le délégué syndical au sein du parc, pas de doute : « Ils veulent couper des têtes, montrer l’exemple, assène-t-il. Les négociations sur les salaires vont reprendre à l’automne, il y aura sans doute à nouveau des grèves, ils veulent intimider les grévistes. »
Une revalorisation des salaires et de meilleures rotations horaires
Le mouvement social qui a secoué Disneyland au printemps était né en mars, à l’appel du collectif « MAI », pour « mouvement anti inflation ». Les « cast members » réclamaient une revalorisation de leurs salaires de 200 € mensuels, que les dimanches soient payés double, une revalorisation des indemnités kilométriques. Ils demandaient également de meilleures conditions de travail, en particulier sur les rotations horaires.
Le mouvement, interrompu durant l’été, pourrait reprendre en septembre. « Nous sommes hautement déterminés et engagés, affirme l’UNSA. Et des salariés que nous avons pu interroger, cette procédure lancée par la direction ne fait que renforcer leur engagement. Mais bien évidemment, ça va dissuader les plus frileux… »
Pour le délégué syndical au sein du parc, pas de doute : « Ils veulent couper des têtes, montrer l’exemple, assène-t-il. Les négociations sur les salaires vont reprendre à l’automne, il y aura sans doute à nouveau des grèves, ils veulent intimider les grévistes. »
Une revalorisation des salaires et de meilleures rotations horaires
Le mouvement social qui a secoué Disneyland au printemps était né en mars, à l’appel du collectif « MAI », pour « mouvement anti inflation ». Les « cast members » réclamaient une revalorisation de leurs salaires de 200 € mensuels, que les dimanches soient payés double, une revalorisation des indemnités kilométriques. Ils demandaient également de meilleures conditions de travail, en particulier sur les rotations horaires.
Le mouvement, interrompu durant l’été, pourrait reprendre en septembre. « Nous sommes hautement déterminés et engagés, affirme l’UNSA. Et des salariés que nous avons pu interroger, cette procédure lancée par la direction ne fait que renforcer leur engagement. Mais bien évidemment, ça va dissuader les plus frileux… »
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Les abonnés aux passes annuels eux aussi mécontents
Selon lui, ce n’est pas la seule contestation à laquelle doit s’attendre l’entreprise à la rentrée. Les détenteurs de pass annuels, dont les prix dévoilés le 11 juillet dernier se sont envolés – jusqu’à 699 € pour la version « gold » – comptent eux aussi faire entendre leur voix. Une pétition en ligne a déjà recueilli 15 000 signatures.
Plus de 800 salariés signent une pétition
Contactée ce samedi sur les procédures de licenciement engagées, la direction de Disneyland n’a pas répondu à nos sollicitations. Au Parisien, elle a affirmé « qu’elle ne s’exprimera pas sur le sujet ».
Une pétition lancée à l’initiative du MAI a déjà recueilli plus de 800 signatures.
Selon lui, ce n’est pas la seule contestation à laquelle doit s’attendre l’entreprise à la rentrée. Les détenteurs de pass annuels, dont les prix dévoilés le 11 juillet dernier se sont envolés – jusqu’à 699 € pour la version « gold » – comptent eux aussi faire entendre leur voix. Une pétition en ligne a déjà recueilli 15 000 signatures.
Plus de 800 salariés signent une pétition
Contactée ce samedi sur les procédures de licenciement engagées, la direction de Disneyland n’a pas répondu à nos sollicitations. Au Parisien, elle a affirmé « qu’elle ne s’exprimera pas sur le sujet ».
Une pétition lancée à l’initiative du MAI a déjà recueilli plus de 800 signatures.
tortue57- Messages : 141641
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j'espère bien que se ne sera pas fait sinon c'est terrible et pas bien du tout
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